Rassemblement d'un nouvel équipage (Suite)

Le sable était chaud et agréable au touché. Je fis le tour de l'île, aux aguets. Aucun être vivant n'était visible à la périphérie du temple, ce qui me rassurat, mais me fit aussi prendre conscience de ma solitude. Mes premières pensées se portèrent sur Burlar et Tirjak, mes deux compagnons survivant avec lesquels j'avait rejoins l'Espoir. Puis je me rappela ce rodeur, au port majestueux, qui commendait le vaisseau. Je me demanda soudain où j'avais bien pu atterir.

La chance avait pu amenait Saralon s'échouer sur cette île, mais une force bien plus puissante que la déesse bizarre avait ramené son javelot à ces côtés ! Il se demandait désormais si l'arme nétait pas doué de pouvoir magique. Il repensa alors à son oncle, qui la lui avait donné, peu avant sa mort, à l'âge vénérable de 92 ans. Il était bien plus vieux que son père et Saralon ne l'avait que peu rencontré et ne connaissait presque rien de lui, si ce n'est qu'il avait vécu durant ses vieux jours près de Kodlonu, dans l'archipel de Mehtani. Mais cela était un temps révolut de bonheur que Saralon avait presque oublié. Il aperçu alors une entrée permettant de rentrer dans le temple.

L'entrée était constitué d'une imposante arche de pierre, surmontant une porte en ruine. Les deux battants étaient sortis de leurs gonds et pendaient désormais, moisissants dans l'air marin. Deux statues d'une vingtaine de pieds de haut rêprésentant deux hommes à l'allure noble, assis sur des trônes de pierre encadraient la porte. Leurs traits ne me rappelèrent rien de ce que je connaissais. Je me demandais si il représentaient des rois d'antan, de royaume disparus ou même de faux Dieux adorés par une sorte de secte ou de culte secret. Et cette dernière pensé ne fut pas pour me rassurer.

Le navire ralenti sa course, Araquan avait repéré une plage ou le bateau pouvait etre reparé. Cela faisait deja une journée que Saralon était passé par dessus bord pendant la tempete et que le batiment naviguait jusqua cette ile reperee auparavant.
Quelque heure plus tard
(Shannara)-Capitaine, savez-vous ou nous sommes?
(Araquan)-Je n'en ai aucune idée. Je pense laissé quelque marin pour réparé le bateau pendant que nous autres irons explorer les lieux.
(Shannara)-Puis-je venir avec vous?
(Araquan)-Bien sur, vous viendrez avec Zao, miss Kaleena, quatre matelos et moi.
C'est ainsi que nos 8 compagnons s'aventurèrent à la decouverte de cette nouvelle ile.

[HRP]J'espere que sa ira comme introduction au depart ; les matelots serviront de chair a patée ^^

Zao marchait lentement dérrière les autres les bras dérrière la tête et sifflant un petit air macabre, il fermait les yeux pour mieux se concentrer sur l'éventualité d'une quelquonque présence. Il entendait les quelques marins qui les accompagnaient parler de choses plus ridicules les unes que les autres.

*Vais devoir me les taper tout le trajet durant...... En plus je......cette sensation......*

-Attendez !

Zao c'était arrêté d'un coup et scrutait les environs, un semblant di'inquiétude avait gagné son visage.

-Vous ne pouvez pas le sentir......Mais il y a une force ici.....Quelque chose d'étrange, cela brouille mes pouvoirs et cette haine...... Il y a une ou des personens pratiquant des activités magiques anormal par ici ! Je vais chercher sa, vous pouvez continuez à explorez si vous le voulez !

Zao décrocha son bâton de son dos et s'enfonça dans la forêt dense qui régnait sur le centre de l'île, il monta à un arbre puis sur une branche solide avant de sauter de branche en branche pour avancer plus vite.

L'île ne faisait qu'un demi mille de diamètre et avait une forme plus ou moins circulaire. Le seul édifice présent était le temple en son centre, et nul autre végétation que les plantes rampantes qui le recouvraient ne poussait dessus. Saralon franchit ce qui avait été autrefois une puissante porte, finement ouvragée, et maintenant en lambeaux. Le temple avait lui aussi une forme circulaire et une immense statue d'une cinquantaine de pieds de haut trônait à l'opposé de la porte. Elle représentait une femme, ni trop vieille, ni trop jeune, d'une beauté vierge sans fioriture. Ses cheveux semblaient flotter dans une brise légère de printemps, ses traits étaient sereins et son corps élançé. Elle se tenait debout, magestueuse et altière : elle tenait un bateau dans sa main gauche qu'elle avançait vers l'entrée et un cigne aux ailes déployées dans son autre main, au niveau de sa taille. Les pierres de tailles confèraient une divine fraicheur au temple contrastant avec la fournaise du dehors. L'endroit charma Saralon et il s'assit sur un banc incrusté dans le mur circulaire, glanant la fraicheur revigorante.

Ce temple ne semble composé que de cette grande salle circulaire, et personne ne foule cette île à part moi, je ferais mieux de tenter de me reposer quelque peu, je chercherai des réponses à mes questions plus tard.

Sur ces mots, Saralon fut gagné par l'athmosphère envoutant et la sérénité du temple et plongea dans un profond sommeil.

J'ouvris les yeux encore étourdit. Un jeune garçon se trouvait face à moi, une capuche cachant ses yeux et le haut de son visage. Il avait l'air si réel mais semblait à la fois quelque peu étheré.

"-La route est sans fin, mais elle comporte de nombreux chemins, commenca t-il. Il est temps de prendre un dernier tournant Saralon."

Je n'avais pas la moindre idée de ce qu'il racontait et restais là, a l'écouter, perplexe.

"-Ils t'attendent, ceux que tu connaissais sur cette terre sont partis et tu n'as a plus aucune raison de demeurer ici. Ton image demeurera ici ternie par ta chute qui fut toutefois majestueuse ; mais ce temps là est révolue et maintenant tu dois suivre une nouvelle route, bien plus glorieuse, mais bien plus dangereuse aussi. Tu a été choisi par Iräe, tu est un des élus, toi et les autres écriront le destin de ce monde. Accomplis ta destiné avant que les chevaliers de l'apocalypse ne se reveille une dernière fois pour sceller ce monde."

Avant leur venu, les élus, choisit parmis les derniers descendant des Anciens, fouleront une dernière fois cette terre. Ils seront au nombre de 7, chacun choisi par l'un des 7 et ils rétabliront les anciens Dieux et les usurpateurs seront détronés.

"-De qui parlez vous, je ne comprend rien, et qui êtes vous, demanda Saralon, agacé par tant de mystères.

-Tu comprendra bien plus tôt que tu ne le souhaite ! De ton sacrifice, l'avenir de beaucoup dépendra car tu as été choisi par Iräe, la déesse de la mer et du vent qui aspire à regagner son trône. Varanion sera reconstruite et le Roi des Dieux regnera de nouveau."

A ces mots grandit un fort halo de lumière autour de l'enfant, éblouissant Saralon. Bientôt, Saralon ne put le discerner tant la lumière qui l'environnait était intense et son éclat ne désemplissait pas, bien au contraire. Puis, aussi subitement qu'elle était apparut, la lumière disparut. Le calme retombat sur le temple silencieux, vide. Saralon n'était plus. Cela avait commencé.

Ps : Ceci est mon dernier message, souhaité par Araquan. Encore une fois, je vous dit adieu, et plus particulièrement à toi Araquan, bonne chance pour la suite et désolé de vous quitter, mais ma déscision est prise. Comme on dit, a++ et bon jeu.

Les hommes recherchaient Saralon sans relache. Voici deux jours qu'ils se trouvaient sur cette île. Puis au matin du troisième, quelque chose se passa. Un homme, aux peintures tribales avec le dos courber et un sabre à la main entra dans un petit campement des huits hommes. Une sentinelle le vit, un cri sortit de sa gorge et plus rien. Un corps s'étala sur les dalles et une flaque de sang coulait.

-Alerte ! Criait Zao.

Les septs sortirent de leurs tente, Zao n'avait juste un pagne qui manquait à chaque gestes de tomber. Kaleena et Shannara étaient presques nues, chaqu'un ne portait que des tenues légères, très légères. L'homme tribale s'était immobilisé en les voyant, un fillet de bave coulait le long de sa bouche. Il se jeta sur Kallena qui l'esquiva et lui trancha la tête. Un cor résonnait et une tribu sortit de la forêt.

-ALERTE ! Cria un garde qui se fit atteindre par une flèche.
-Vite, tous au navire ! Hurlait Araquan.

Courant à s'en casser les jambes, le groupe se dirigeait vers le bâtiment, criant de détacher les amarre et de partir. Ils réussirent à s'en aller dans leur bâtiment. Laissant dérrière eux leur précieux compagnon . . .




HRP : Merci Eärendil, que ta vie sans Gw te soit favorable.[/u]